Pire : les employeurs confisquent souvent les passeports des nouveaux arrivants et entassent cette main d'oeuvre bon marché dans des camps en périphérie des villes...
...camps gardés et interdits aux visiteurs comme moi !
Ce mécanicien philippin garde pourtant le sourire, même si depuis 3 ans il n'est pas retourné au pays.
L'ombre de l'esclavage moderne ne plane pas très loin !
Pour mémoire : de temps à autre surgit une histoire de jeunes filles philippines retenues contre leur grè par de riches émirs.